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Parce qu’être parent est à un job à plein temps 😎
Nous vous souhaitons de bonnes vacances !
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J’ai le plaisir de vous annoncer la publication de mon livre « L’expérience éducative: solutions concrètes en 24 thématiques à l’usage des parents ».
Éduquer un enfant est une tâche complexe et exigeante, souvent semée de défis inattendus. Pourtant, nulle part ne nous apprend véritablement comment s’y prendre. C’est à ce besoin crucial que répond cet ouvrage.
Fort de 30 ans d’expérience dans le domaine de l’éducation, cet ouvrage se veut être une boussole pour les parents en quête de réponses pratiques et efficaces. À travers 24 chapitres didactiques, ce livre aborde autant de problèmes éducatifs que les familles peuvent rencontrer avec leurs enfants et adolescents.
Chaque thématique est traitée de manière pragmatique, offrant des solutions concrètes et éprouvées sur le terrain. Que ce soit pour gérer les crises de colère, encourager l’autonomie, naviguer dans les méandres de l’adolescence ou établir des routines sereines, ce guide propose des approches directement applicables, permettant aux parents de trouver des réponses immédiates et adaptées à leur quotidien.
C’est plus qu’un simple manuel; c’est un compagnon de route pour tous les parents désireux de mieux comprendre et accompagner leurs enfants. Les pages de ce livre regorgent de conseils pratiques, basés sur des décennies d’observations et de pratiques réussies, offrant ainsi une véritable aide aux familles.
Que vous soyez confronté à des défis éducatifs quotidiens ou à des situations plus spécifiques, cet ouvrage vous apportera le soutien nécessaire pour naviguer avec confiance et sérénité dans l’aventure de la parentalité.
La grande question :
après 2 mois de vacances, la rentrée scolaire arrive: comment remettre votre ado ou votre enfant dans le rythme ?
Radios, télévision, articles de presse, médecins, spécialistes du sommeil, psychologues et même des chronobiologistes nous parlent de l’horloge biologique, du lever et du coucher du soleil, de rythme de l’enfant à respecter, de performances cognitives et physiques pour être pour être au top le premier jour de la rentrée.
D’ailleurs que se passe-t-il ce fameux premier jour?
Que ce soit dans le premier ou second degré (primaire ou collège/lycée), les élèves n’effectuent jamais une première journée pleine.
Ils sont en quelque sorte convoqués pour deux heures par exemple, à des tranches horaires différentes selon les niveaux de classes. Les professeurs vont leur donner la liste des fournitures, expliquer que cette année c’est une année charnière et qu’il va falloir travailler beaucoup, exposer le programme dans les matières inhérentes au professeur et on va leur expliquer le fonctionnement de l’établissement pour les nouveaux élèves notamment.
Par conséquent, est il utile d’envisager, une semaine ou deux avant, d’imposer des heures dégressives de coucher avec un planning précis sur l’heure de coucher , de lever, de calculer le nombre d’heures de sommeil pour … quelques heures de présence avec aucun apport cognitif le fameux jour J?
Ne vaut il mieux pas les laisser profiter des vacances jusqu’à la fin quitte à ce que votre enfant ou votre ado soit un peu fatigué ce premier jour?
Il n’en dormira que mieux la nuit suivante et se calera forcément au rythme auquel il a l’habitude depuis plusieurs années ?
Tout simplement !?
J’avais d’ailleurs participé à une émission sur France 3 sur ce thème,
voir sur le site: http://consultant-educatif.com/medias-temoignages/
Sujet: Un « parcours d’inspiration militaire » étendu à tous les jeunes en centre éducatif renforcé.
Un dispositif élargi à l’ensemble des jeunes délinquants.
Objectif: permettre à des délinquants mineurs d’effectuer des stages de cinq semaines chez les militaires pour lutter contre la récidive. Ce sont des jeunes qui pourront sur la base du volontariat aller faire un stage chez les militaires.
Les quelque 300 adolescents actuellement placés en centre éducatif renforcé (CER) pourront désormais demander à participer à ces stages de cinq semaines encadrés par des militaires, a indiqué le ministère de la Justice.
Pour encadrer les participants, le ministère compte faire appel à « des militaires retraités », aux côtés des professionnels de la PJJ.
Voici l’intervention d’Hervé et son avis (durée: 3:08).
https://www.dropbox.com/s/0sd3xsllbm0c0h2/Emission%20RMC%20Estelle%20midi.mp3?dl=0
Et vous quel est votre avis?
« Est ce que ce monde est sérieux? »
Selon les chiffres fournis par l’Observatoire européen des drogues et des toxicomanies (OEDT) en septembre 2021, 44,8 % des Français de 15-64 ans, soit 18 millions de personnes, ont déjà consommé au moins une fois du cannabis dans leur vie.
Quid du pourcentage des jeunes de 12 à 20 ans?
Ces éminents politiques mesurent- ils l’étendue des dégâts occasionnés par la consommation du cannabis chez nos jeunes?
Destruction des cellules du cerveau, déscolarisation, explosion de la famille, violences, vols et assez fréquemment trafic de produits stupéfiants dans un premier temps pour financer la consommation pour ensuite aller vers l’argent facile. C’est ce que je constate depuis une vingtaine d’années en intervenant dans les familles, qui sont désespérées, au bord de l’implosion, en ruines…
Lorsque j’interviens le process de destruction est déjà lancé et heureusement, nous arrivons dans la grande majorité des cas à faire en sorte que l’ado arrête de fumer.
Ce listing se veut totalement apolitique.
Mr Macron
Il a certes autorisé le cannabis médical tout en modifiant les peines pour les consommateurs de cannabis, passant d’éventuelles poursuites pénales à une amende.
Aveu d’impuissance ? Le message pour un ado est le suivant: « fumer, c’est mal, mais c’est pas trop grave».
Mr Zemmour:
« Je me demande si on ne devrait pas organiser la légalisation ordonnée du cannabis » (Tweet du 6 mai 2021), par pragmatisme dit-il…
On organise mais … comment? On créer un pass cannabinoïdal?
Mr Jadot:
« Faire le choix de la légalisation du cannabis, c’est permettre une meilleure politique de santé publique et un meilleur usage des forces de police. » (Tweet du 19 avril 2021).
A noter, que la légalisation du cannabis est clairement indiquée dans son programme.
Etre écolo, c’est permettre le libre accès à ces plantes pour tous nos jeunes ?
Mr Mélenchon:
s’est dit favorable à la légalisation du cannabis afin d’en réglementer l’usage.
A l’instar de son collègue d’extrême droite, comment organise-t-on l’usage de cannabis pour les moins de 20 ans (je n’emploie pas le terme mineur à dessein)? Un carnet avec des tickets comme au cinéma?
Mr Roussel
« Je suis plus tendance dépénalisation que légalisation», a-t-il expliqué le 23 janvier 2022 dans l’émission Le Grand Jury diffusée sur RTL, LCI et Le Figaro.
Il serait donc « tendance » que nos jeunes fument impunément?
Mr Poutou:
« Pour la légalisation du cannabis, la dépénalisation des drogues, pour un accompagnement médical. Stop à la répression »
Autant il m’avait fait rire avec son absence d’immunité ouvrière, autant là, j’espère pour lui qu’aucun de ses enfants, s’il en a, ne consomme du cannabis. Il veut dépénaliser toutes les drogues, ainsi nos ados pourront consommer tranquillement cocaïne, héroïne, crack, MDAM et consorts dans son monde idéal?
(Source:https://www.cnews.fr/france/2022-02-01/repression-legalisation-depenalisation-que-pensent-les-candidats-la-presidentielle)
Que se passerait-il si le cannabis était autorisé, en vente libre sachant que nous ne sommes ni néerlandais, ni canadiens et encore moins uruguayens ?
Comment feraient les dealers pour ne pas perdre d’argent?
Pas la peine d’avoir un master en Economie. Ils casseraient le prix des drogues les rendant encore plus accessibles et attractives: la cocaïne et l’héroïne passeraient à 20e le gramme, ils vendraient certes moins cher mais beaucoup plus, idem pour le crack, la MDMA et autres… Je vous laisse imaginer les dégâts dans le cerveau de nos enfants.
Que ne font ils pas pour recolter des voix où sont ils juste déconnectés de la réalité…?
Savez vous que quasiment chaque ado ( 92% des 13-19 ans) est inscrit en moyenne sur 3 réseaux sociaux et passe sur les dits réseaux deux heures par jour au minimum. Ils arborent un comportement machinal et systématique à consulter leur téléphone.
Ces réseaux font partie intégrante de leur quotidien.
Ils sont ancrés dans leurs vies; ils se sentent dépendants du wifi et de la 4ou5G.. Ils ne peuvent s’en passer.
L’écran est omniprésent
Même si les réseaux sociaux permettent de maintenir des liens, ils peuvent également les éloigner du monde actuel (ne parler qu’avec des amis virtuels par exemple).Une distance de plus en plus fréquente chez les jeunes d’aujourd’hui qui privilégient la communication via un écran aux rencontres réelles.
Vérifier ses notifications sur mobile est devenu machinal : il semble indispensable de vérifier en temps réel les commentaires, le nombre de followers… La possibilité de consulter les réseaux sociaux amplifie ce phénomène.
Cela s’explique par le fait de pouvoir consulter des sites sociaux sur mobile, n’importe où, n’importe quand (chez soi, en cours, dans le métro).
Les dangers
Certains adolescent(e)s n’ont pas conscience que ce qu’ils publient sur les réseaux peut avoir des conséquences. Des photos dénudées, des poses de bimbos, des propos violents, des insultes peuvent déclencher du cyber-harcèlement et il est quasiment impossible d’arrêter ce fléau. Les conséquences peuvent être graves comme la dépression ou le suicide. 40% des élèves ont déjà subi un harcèlement en ligne.
Les nouvelles technologies ont aussi un effet négatif sur la structure familiale: altération de la communication. En effet, nombre d’ados circulent dans leur foyer avec leurs oreillettes , les rendant sourds à toute discussion. Il faut s’armer de patience en tant que parent et accepter de tout répéter deux ou trois fois.
La distance critique
Cela dit, étant obligés de vivre avec, il nous faudra bien en trouver quelque avantage.
Les médias sociaux peuvent améliorer leur potentiel créatif notamment par la réalisation de divers projets (blog, vidéos, musique…). La maîtrise de ces outils influe sur l’apprentissage et la construction de personnalité.
Internet et les réseaux sociaux sont aussi en quelque sorte l’Encyclopedia Universalis des temps modernes: trouver des réponses aux questions des jeunes. L’accès à l’information sans barrière leur permet de s’ouvrir davantage, de se renseigner sur de nombreux sujets. Ce traitement rapide de l’information n’est certes pas fait pour développer la mémoire et la réflexion mais contre mauvaise fortune…
Comment accompagner l’adolescent en tant que parent ?
Les enjeux sont multiples :
Pour ne tomber dans une addiction, il leur faut avoir un usage raisonné et pertinent des outils, un recul par rapport aux informations diffusées…
Les parents sont dépassés par les nouvelles technologies, alors que leurs enfants les maîtrisent parfaitement. Ils n’ont pas conscience des dangers que cela peut engendrer. Il est donc indispensable t’établir des règles comme :
* L’utilisation de filtres s’avère utile durant l’enfance pour éviter à l’enfant d’aller sur n’importe quel site
* Limiter les nombres d’heures sur les réseaux sociaux
* S’octroyer un droit de visibilité sur le téléphone de l’enfant et de l’adolescent.
Source: https://influenceursduweb.org/les-ados-et-les-reseaux-sociaux-distance-critique-ou-addiction/
Voici un article que je trouve interessant sur le sujet:
https://www.huffingtonpost.fr/entry/le-systeme-scolaire-broie-les-enfants-dys-dont-le-mien-blog_fr_62694dc4e4b0dc52f49eb7b9
« Ce soir j’ai hurlé et pleuré face à mon fils de 10 ans. Parce que je suis à bout de nerfs. Parce que l’école et les devoirs sont des combats pour un enfant qui présente ces si joliment appelés “dys”.
L’Éducation nationale, cette implacable machine
Parce que chaque p***** de soirs c’est le même combat, le même cirque pour qu’il accepte enfin de faire ses devoirs, prendre sa douche, dîner, aller se coucher… parce qu’à chaque fois que j’évoque quoi que ce soit qui touche à l’école avec lui, ça tourne au pugilat. Il se braque, monte en pression et grimpe sur ses grands chevaux au galop.
Alors oui, ce soir, je n’étais pas cette mère parfaite qui use de patience, de compréhension et d’abnégation. Ce soir, j’étais une folle hystérique, complètement échevelée qui hurle sur son fils qu’elle n’en peut plus. Qu’elle est fatiguée de se battre tous les jours contre lui alors qu’elle essaie de toutes ses forces et de toute son énergie de l’aider. Alors même qu’elle s’apprête à faire front face à l’implacable machine qu’est l’Éducation nationale.
Alors même qu’elle passe son temps à courir de rendez-vous en rendez-vous, un coup le psy, un coup l’orthophoniste, un coup l’ergothérapeute,… qu’elle passe ses soirées à écumer tout Internet pour trouver une pédagogie alternative, un outil qui aiderait son fils dans ses acquisitions, n’importe quoi qui lui faciliterait la vie, lui qui galère tant…
Le soir de trop
Alors oui, ce soir, c’était le soir de trop. Son agenda a volé à travers le couloir. J’ai hurlé à plein poumons ma détresse et mon impuissance. Je l’ai supplié de m’aider à comprendre ce que je faisais de si mal et qui me valait tout son courroux.
Alors oui, bien sûr, demain tout ira mieux. Et bien sûr, que je sais qu’il ne le fait pas exprès, qu’il ne comprend pas les enjeux, qu’il ne soupçonne pas l’investissement que ça demande à toute la famille. Que ça me demande à moi.
Ce soir j’ai hurlé et pleuré. Ce soir, j’ai avoué à mon fils mon impuissance et ma détresse de le voir s’en prendre à moi qui fait tant pour lui.
Ce soir, je crois que même si je n’ai pas été une mère parfaite, j’ai été une mère aimante. »
Voici trois témoignages (parmis beaucoup d’autres) de familles heureuses que leur adolescent soit sorti de l’enfer du cannabis grâce à notre « protocole » qui fonctionne dans 90% des cas environ étant entendu que j’aurais adoré atteindre les 100%…
Mme B. à propos de Léo, 16 ans:
« Le cannabis est une histoire passée, pas sans mal, pas sans conflit mais le cannabis ne fait plus parti de nos vies à l’heure d aujourd’hui…et je vous en remercierai jamais assez de nous avoir aidé
Léo a grandi et s’est construit avec le souvenir de cet état qui était le sien sous l’emprise de cette drogue qui fait des ravages tant au niveau social, psychologique, scolaire, familial et j en passe…
Léo en est sorti, aujourd’hui il prepare son bac et à choisi son futur, son avenir professionnel. … Il sera infirmier.
Alors oui , je livre mon témoignage pour partager notre histoire, son histoire …mais aussi ce que l’on peut à nouveau être une fois que le cannabis sort de notre vie
Une relation saine et sereine avec notre enfant, une relation de confiance, un partage de vie, la vrai vie dans son entièreté, dans sa vérité….
Bonne soirée
Et encore merci »
Mme et Mr F. Mathieu 17 ans
« Notre fils va bien, il est souriant, serein, travailleur, un jeune homme heureux de vivre… nous ne vous remercierons jamais assez de votre intervention, déjà presque 3 ans ! face à ce fléau qui touche tellement notre jeunesse. »
Mme et Mr B. Victor 15 ans:
« Nous souhaitions de nouveau vous remercier avec mon mari d’avoir pris en charge notre fils Victor.
Votre travail a été formidable et grâce à vous, Victor a repris le droit chemin.
Grâce aux années d’expérience et les méthodes que vous proposez, notre fils a repris le droit chemin. Nous vous en sommes très reconnaissants.
Mr et Mme B. »24
Enfin une initiative concrète qui, je pense, sera bénéfique pour tout le monde y compris pour les militaires j’espère.
https://www.20minutes.fr/societe/3193799-20211210-bretagne-dupond-moretti-envoie-jeunes-delinquants-sejour-rupture-camps-militaires?xtor=RSS-176
Il avait évoqué cette idée dans la foulée de sa nomination à la Chancellerie. Devant la commission des lois de l’Assemblée nationale, le tout nouveau ministre de la Justice Eric Dupond-Moretti annonçait vouloir « moins enfermer » les mineurs délinquants. Plutôt qu’incarcérer, le ministre rêvait alors d’envoyer ces jeunes pour un séjour dans l’armée, reprenant au passage une idée véhiculée par Eric Ciotti. Eric Dupond-Moretti ajoutait qu’il préférait qu’un jeune « ait un militaire pour idole qu’un islamiste radical ou un caïd ». Le garde des Sceaux aura patienté un an et demi avant de voir son vœu s’exaucer. Depuis le 15 novembre, six jeunes issus du centre éducatif fermé d’Evreux (Eure) sont accueillis au sein de la prestigieuse école militaire de Saint-Cyr Coëtquidan, dans le Morbihan.
Jeudi, le ministre de la Justice s’est déplacé en Bretagne pour découvrir le « parcours d’inspiration militaire » mis en place pour ces six jeunes âgés de 14 à 17 ans aux parcours souvent chaotiques. Sur les cinq mois de leur séjour en centre éducatif renforcé, ils passeront cinq semaines auprès des militaires, en binôme avec un élève officier, puis deux semaines dans un chantier de génie écologique et une semaine de découverte de l’institution militaire. Pendant cette période, ils resteront encadrés par leurs éducateurs de la Protection judiciaire de la jeunesse (PJJ), accompagnés par l’association Irvin dirigée par d’anciens militaires. « L’objectif des centres éducatifs fermés est de créer une rupture avec l’environnement des mineurs, qui sont souvent désinsérés. On cherche à créer un esprit de solidarité et de cohésion. Le séjour d’inspiration militaire s’inscrit dans ce cadre », explique la Chancellerie.
« Ce n’est pas une classe verte »
Pendant cinq semaines, les « stagiaires » seront plongés en immersion dans l’armée française, dont ils devront assimiler les valeurs, notamment la rigueur. Les journées seront rythmées par de nombreuses activités en pleine nature : de la marche, y compris de nuit, de l’escalade, des bivouacs ou de la course d’orientation. « Ce n’est pas une classe verte, prévient la Chancellerie. C’est un séjour de rupture où il est question de cohésion, de dépassement de soi. Nous avons affaire à des jeunes qui ont des difficultés majeures au quotidien. L’idée, c’est de provoquer un déclic ».
En signant un protocole cet été, le ministère des Armées et le ministère de la Justice espéraient « mieux se connaître ». L’armée espère-t-elle recruter à l’occasion de ces parcours ? « Nous n’allons pas recruter au sein de la PJJ, ce n’est pas l’objectif », rétorque le ministère. Avant de rappeler qu’elle propose « des perspectives de carrière pour les jeunes » mais qu’elles restent « encore peu connues ». Qu’elle veuille recruter ou non, l’armée pourrait se heurter à un problème de taille. Pour devenir militaire, un candidat doit présenter un casier judiciaire vierge, à moins de s’engager dans la Légion d’honneur.
Cette première session entamée en novembre sera suivie d’une seconde courant 2022, où six autres jeunes seront accueillis à Coëtquidan. Un bilan sera ensuite tiré de cette expérimentation, prévue pour durer jusqu’en août 2022.
Un séjour de rupture n’est pas une semaine de vacances à base d’activités sportives ou ludiques moyennant plusieurs milliers d’euros, c’est un projet qui se construit, pas un démarchage téléphonique; même si c’est vous qui appelez.
Les principaux critères d’un véritable séjour de rupture sont:
– la durée: un ou plusieurs mois afin de mettre à distance l’environnement d’origine.
– un projet pédagogique avec des chantiers éducatifs, des médiations éducatives, des temps forts.
– un programme avec des objectifs ad-hoc précis et une vraie équipe éducative et une présentation d’une journée type.
– un lieu de vie digne de ce nom.
Il existe plusieurs associations sérieuses dont les coûts peuvent être pris en charge partiellement.
Par conséquent, méfiez vous des ces beaux parleurs qui vont vous promettent moyennant 4 ou 5000 euros, voire plus pour une semaine renouvelable, que tout les problèmes seront réglés.
Par téléphone : 06 99 82 87 80
du lundi au vendredi : de 8h à 19h
le samedi : de 8h30 à 19h
(sans interruption)
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